Bordait-il le ruisseau ? parait-il le vallon ? Peut-être il embellit la colline que j'aime : Peut-être sous son ombre ai-je rêvé moi-même. Tout à coup je l'anime ; à son front verdoyant Je rends de ses rameaux le panache ondoyant , Ses guirlandes... Oeuvres - Page 25by Jacques Delille - 1824Full view - About this book
| Jacques Delille - Nature in literature - 1808 - 326 pages
...fut sa patrie ?. * Sur les moûts escarpés bravait-il l'Aquilon? iîordait-il Je ruisseau? parak-il le vallon? Peut-être il embellit la colline que j'aime...Peut-être sous son ombre ai-je rêvé moi-même. Tout à coup je l'anime , à son front verdoyant Je rends de ses rameaux le panache ondoyant , Ses... | |
| Jacques Delille - French literature - 1808 - 318 pages
...sol fut sa patrie? Sur les monts escarpés bravait-il l'aquilon? Bordait-il le ruisseau? parait-il le vallon? Peut-être il embellit la colline que j'aime, Peut-être sous son ombre ai-je rêvé moi-marne. Tout à coup je l'anime , à son front verdoyant Je rends de ses rameaux le panache ondoyant,... | |
| Jacques Delille - Nature in literature - 1808 - 328 pages
...fut sa patrie ?* Sur les monts escarpés bravait-il l'Aquilon?, Bordait-il, le ruisseau? parait-il le vallon? Peut-être il embellit la colline que j'aime, Peut-être sous son ombre ai -je rêvé moi-même* Tout à coup je l'anime , à son front verdoyant Je rends de ses rameaux le... | |
| Jacques Delille - 1809 - 320 pages
...rêvé moi-même. Tout à eoup je l'anime , à son front verdoyant Je reeds de ses rameaux le panaehe ondoyant, Ses guirlandes de fleurs , ses touffes de feuillage, Et les tendres seerets que voilà son ombrage. Tantôt environné d'auteurs que je ehéris , Je prends, quitte et... | |
| Jean-Pons-Victor Lecoutz de Levizac, François Moysant - Literature - 1814 - 572 pages
...Imagination ! de tes vagues chimères Fais passer devant moi les figujes légères. •A tes songes brillans que j'aime à me livrer ! Dans ce brasier ardent qui...Peut-être sous son ombre ai-je rêvé moi-même. Tout à coup je l'anime ; à son front verdoyant , Je rends île ses rameaux le panache ondoyant ,... | |
| Aubert Aubert Du Petit-Thouars - Plants, Motion of fluids in - 1815 - 238 pages
...fut sa patrie? Sur les monts escarpés bravoit-il l'aquilon ? B»r loit-il le ruisseau? l'aroit-il le vallon? Peut-être il embellit la colline que j'aime! Peut-être sous son ombre ai-je rêvé moiTmème? Touuà-coup je l'anime; à son front verdoyant Je rends , de ses rameaux , le panache ondoyant... | |
| Jacques Delille - 1821 - 286 pages
...sol fut sa patrie? Sur les monts escarpés bravait-il l'aquilon T Bordait-il le ruisseau ? parait-il le vallon ? Peut-être il embellit la colline que...Peut-être sous son ombre ai-je rêvé moi-même. Tout à coup je l'anime , à son front verdoyant Je rends de ses rameaux le panache ondoyant , Ses... | |
| Jacques Delille - 1834 - 548 pages
...sol fut sa patrie ? Sur les monts escarpés bravait-il l'aquilon ? Bordait-il le ruisseau? Parait-il le vallon ? Peut-être il embellit la colline que...Peut-être sous son ombre ai-je rêvé moi-même. Tout à coup je l'anime , à son front verdoyant Je rends de ses rameaux le panache ondoyant, Ses guirlandes... | |
| François Noel - French literature - 1840 - 652 pages
...Peut-être il embellit la colline que j'aime, Peut-èlre sous son ombre ai-je rêvé moi-même. Tout à coup je l'anime; à son front verdoyant Je rends de ses...le panache ondoyant, Ses guirlandes de fleurs, ses mufles de feuillage, Et les tendres secrets que voila «on ombrage. Tantôt, environné d'auteurs queje... | |
| 1844 - 784 pages
...même en vers , lui qui donne quelque part des guirlandes de flenrs au chêne puissant et sévère : Ses guirlandes de fleurs , ses touffes de feuillage , Et les tendres secrets que voila son ombrage. Enfin, quoiqu'on ait dit d'un philosophe français, de Jouffroy, pour mieus peindre sans doute la froide... | |
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