 | Georges Louis Leclerc comte de Buffon - Natural history - 1799 - 434 pages
...rappelle la nature vivante :. solitude abso-r lue,, mille fois plus affreuse que celle.des for rets; car les arbres sont encore des êtres pour l'homme qui se voit seul plus isole, plus dénué, plus perih3.:dana;œes lieux yuide» et sans bornee, i,l voit par - tout l'espace... | |
 | comte Georges Louis Leclerc de Buffon - 1799 - 438 pages
...respiré sous l'ombrage , où rien ne l'accompagne , rien ne lui rappelle la Nature vivante : solitude absolue , mille fois plus affreuse que celle des forêts...par-tout l'espace comme son tombeau : la lumière du jour plus triste que l'ombre de la nuit, ne renaît que pour éclairer sa nudité , son impuissance,... | |
 | comte Georges Louis Leclerc de Buffon - 1799 - 434 pages
...l'om-i brage, où rien ne l'accompagne, rien ne lui rappelle la nature vivante : solitude abso-. lue, mille fois plus affreuse que celle des forêts; car...plus is.olé, plus dénué, plus perdu dans ces lieux vuidea et sans bornes, il voit par -tout l'espace comme son tombeau : la lumière du jour. plus triste... | |
 | 1811 - 636 pages
...l'ombrage , où rien ne l'accompagne , rien » ne lui rappelle la nature vivante ; solitude absolue mille n fois plus affreuse que celle des forêts ; car les...sont * encore des êtres pour l'homme qui se voit ssul ; plus n isolé, plus dénué, plus perdu dans ces lieux vides et sans » bornes , il voit par-tout... | |
 | Georges Louis Leclerc comte de Buffon - Natural history - 1812 - 348 pages
...respiré sous l'ombrage , où rien ne l'accompagne , rien ne lui rappelle la nature vivante. Solitude absolue, mille fois plus affreuse que celle des forêts...voit seul : plus isolé , plus dénué , plus perdu dan» ses lieux vuides et sans bornes, il voit partout l'espace comme son tombeau : la lumière du... | |
 | Ludwig Ideler - 1812 - 618 pages
...affreuse que celle des forêts; car les arbrea sont encore des êtres, pour l'homme, qui se voit seul phis isolé, plus dénué, plus perdu, dans ces, lieux...par-tout l'espace comme son tombeau: la lumière du jour plus triste que l'ombre de la nuit, ne renaît que pour éclairer aa nudité, son impuissance,... | |
 | comte Georges Louis Leclerc de Buffon - Natural history - 1818 - 672 pages
...la nature vivante : solitude absoDTJ CHAMEAU ET DU DROMADAIRE. 2/19 lue , mille fois plus aflreuse que celle des forêts ; car les arbres sont encore...partout l'espace comme son tombeau ; la lumière du jour, plus triste que l'ombre de la nuit, ne renaît que pour éclairer sa nudité, son impuissance,... | |
 | François Robert - 1818 - 734 pages
...affreuse que celle des forêts; car les arbres wnt encore des êtres vivans pour l'homme qui se voit seul; plus dénué, plus perdu dans ces lieux vides et sans bornes , il voit partout l'espace comme son tom"*»u : la lumière du joui , plus fcùte que l'ombre de la nuit , ne que pour éclairer M nu •... | |
 | Anne Marie comtesse Beaufort d'Hautpoul - 1821 - 452 pages
...laquelle ne présente que des ossemens , des cailloux jonchés , des rochers debout ou renversés , un désert entièrement découvert, où le voyageur...sont encore des êtres pour l'homme , qui se voit plus seul , plus isolé , plus dénué , plus perdu dans ces lieux vides et sans bornes; il voit par-tout... | |
 | French language - 1821 - 434 pages
...l'ombrage, où rien ne l'accompagne, rien ne lui rappelle la nature vivante: solitude absolue, m. il*, fois plus affreuse que celle des forêts ; car les arbres sont encore des êties j/nur l'homme qui se voit seul plus isolé, plus dénué, plus perdu dans ces lieux vides et... | |
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... des cailloux jonchés, des rochers debout ou renversés, un désert entièrement découvert où le voyageur n'a jamais respiré sous l'ombrage, où rien ne l'accompagne, rien ne lui rappelle la nature vivante; solitude absolue mille fois plus affreuse... 
