Histoire naturelle, générale et particulière: Crustacés et des insectes, par P.A. LatreilleChex F. Dufart, 1799 - Natural history |
Common terms and phrases
abdomen abeilles ailes inférieures ailes supérieures alongé alucites anneaux de l'abdomen antennes Antennes pectinées antérieures Apis arquées articles blanchâtres bombix bord postérieur calobata cendré chenilles chrysalides conique conops coque corps Corselet huppé côté couleur crochets cylindrique d'Eur dernière dessous des ailes diptères duvet Engr Engram environs espèce EUGLOSSE Europe Fabricius fasc Faun fauve femelles ferrugineux feuilles foncé forme gâteaux Géer genre Geoff germ gris Hesperia hippobosques ibid ibid ibid Icon infé insectes jaunâtre jaune l'extrémité l'hyver l'insecte parfait larves lépidoptères lignes Linnæus longueur mâle mandibules Mégachile MELECTE Mém métamorphose milieu mouches Musca noirâtre nymphe obscur œufs ovale palette palpes Panz Papilio papillon paroît pattes peau pectinées petites taches phal phalène pièce poils ponctuées presque printems prunelle blanche PSYCHODE raies Réaum rieures rouge rougeâtre roussâtre ruche soie sphingides stratiomes syrphes Syrphus taches noires tachetées tarses teigne tems tête tipules transversales triangulaire trompe verd
Popular passages
Page 159 - ... à peine at-on trente ou quarante livres de cocons d'une livre de graine, et il faut quinze ou seize livres de cocons pour une livre de soie. Cette différence provient en grande partie du mauvais choix de la graine. On fait éclore la graine de différentes manières, ou par art, ou spontanément, avec un petit secours de l'art. Dans les climats qui ne sont pas très-chauds...
Page 163 - ... donner à manger plusieurs fois dans la journée. Dans une éducation qu'on hâte par une chaleur de vingt-six à vingt-huit dégrés, les repas doivent être de deux heures en deux heures pendant les deux premiers jours ; ensuite on les réduit à six pendant le reste de l'éducation. A l'approche de la première mue , l'appétit du ver augmente environ vingt-quatre heures auparavant ; on appelle cette disposition à manger, petite frèze : à la seconde mue, elle dure trente-six heures; à...
Page 161 - ... l'infirmerie, où le changement d'air peut les remettre , quand la maladie a fait peu de progrès. Quant à ceux qui ne donnent aucune espérance , il faut les enterrer dans- le fumier , de crainte que les poules ne les mangent, car elles pourroient en être empoisonnées. Les inorts Blancs ovttripés. Les vers attaqués de cette maladie meurent subitement, et conservent - après leur mort , l'air' de fraîcheur et de bonne santé.
Page 253 - ... ces divisions commencent dès leur origine, dans d'autres vers leurs milieu. La membrane qui couvre les nervures à l'endroit où elles ne sont pas séparées, est couverte de petites écailles comme dans les autres lépidoptères; mais dans le reste de leur longueur, elles sont garnies sur les côtés de poils fins, longs et serrés, imitant assez les barbules des plumes. Les ailes des ornéodes sont plus larges que celles des plérophores , et divisées en six parties.
Page 24 - La ruche en feuillets est composée de la réunion de douze châssis , placés verticalement et parallèlement les uns aux autres. Les montans ont douze pouces , et les traverses dix. L'épaisseur des montans et des traverses est d'un pouce , et leur largeur de quinze lignes ; il est important que cette dernière mesure soit exacte. Tous les feuillets se joignent ensemble par des charnières , de sorte qu'ils peuvent s'ouvrir et se fenner à volonté comme les feuillets d'un livre.
Page 215 - Celle de la gallérie de la cire, qui est plus grosse et moins commune que celle de l'alvéolaire» a les anneaux plus entaillés, est beaucoup plus vive, et est de la grandeur des chenilles ordinaires. Ces chenilles si frêles, que la moindre piquure des abeilles feroit mourir, .savent non seulement éviter les atteintes de l'aiguillon meurtrier de ces insectes, mais les forcent même quelquefois à abandonner leur habitation. Chaque chenille s'enferme dans Un tuyau cylindrique, qui est pour elle...
Page 158 - Sauvages a vu mourir des vers empoisonnés pour avoir mangé des feuilles arrosées avec de certaine eau de pluie, tandis que d'autre eau de pluie ne leur faisoit aucun mal ; comme il n'est pas facile de distinguer dans quel cas cette eau leur est nuisible , il faut donc avoir soin de ne leur donner que des feuilles "bien sèches. Quand la saison n'est pas humide, on peut laisser les feuilles nouvellement cueillies dans la pièce au rez-dechaussée; mais quand on craint l'humidité, il convient,...
Page 162 - Elle est attribuée à quelque défaut dans la couvée , ou à quelque défectuosité dans l'accouplement qu dans la ponte. On distingue les vers malades par leur couleur; ils deviennent d'un rouge clair, et ensuite d'un blanc sale , ont le corps transparent , et laissent tomber , par leurs filières , une goutte d'eau visqueuse. Comme ces vers consomment autant de feuilles que les autres , et qu'ils ne font jamais de coque , dès qu'on en aperçoit de malades, il faut les jeter , parce qu'ils mangent...
Page 168 - ... de femelles. On fera en sorte que l'accouplement ne dure pas plus de neuf à dix heures. On laisse les morceaux d'étoffe sur laquelle la graine est collée, et on les place dans un endroit frais , afin de ne pas hâter le développement du germe, qui, sans être suivi de la naissance du ver, lui nuiroit considérablement. On a soin de garantir la graine du froid pendant l'hyver, et de la tenir à une température égale. Quand le tems de la couvée approche, on la détache des morceaux d'étoffe...
Page 163 - ... rebords, car c'est toujours par là que les chenilles entament les feuilles, et il faut leur donner à manger plusieurs fois dans la journée. Dans une éducation qu'on hâte par une chaleur de vingt-six à vingt-huit dégrés , les repas doivent être de deux heures en deux heures pendant les deux premiers jours; ensuite on les réduit à six pendant le reste de l'éducation. A...