(VIII, 295 p.)chez Maradan, 1810 |
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Common terms and phrases
à-peu-près animaux apprivoiser arbres assez autruches avoit bâtit son nid bec est noir bleu bois brun Buffon buissons cage CAILLE DE MADAGASCAR cailles casoar cendré chair chant cinq œufs corbeau CORNEILLE NOIRE côté coucou couleur couve creux croupion d'arbre d'envergure d'insectes derriere dessous du corps espece étoient étoit faisan femelle pond foible foncé freux gélinotte gorge graines gris grive gros grosseur gueur insectes isles jambes jaunâtre jaune l'aigle l'autruche l'extrémité l'hiver l'oiseau linotte lorsqu'il maison mâle manger maniere ment merle mousse nourrit nourriture oiseau de paradis ongles ongles noirs ordinairement pâle paon paroissent paroît pendant pennes des ailes perroquet petits oiseaux PIC NOIR pic vert pieds pigeon pigeon vert plumage plumes poitrine pouces de long pouces de longueur premiere presque printemps proie quelquefois queue rossignol rouge rouge-gorge sauvage seau seulement six œufs sommet souvent sur-tout taches terre tête toucan tourterelle troupes trouve ventre vert voix yeux
Popular passages
Page 207 - Rien n'égale la vivacité de ces petits oiseaux, si ce n'est leur courage, ou plutôt leur audace. On les voit poursuivre avec furie des oiseaux vingt fois plus gros qu'eux, s'attacher à leur corps, et, se laissant emporter par leur vol, les becqueter à coups redoublés jusqu'à ce qu'ils aient assouvi leur petite colère.
Page 47 - L'aigle a de plus les yeux étincelants , et à peu près de la même couleur que ceux du lion , les ongles de la même forme, l'haleine tout aussi forte, le cri également effrayant. Nés tous deux pour le combat et la proie, ils sont également ennemis de toute société, également féroces, également fiers et difficiles à réduire ; on ne peut les apprivoiser qu'en les prenant tout petits. Ce n'est qu'avec beaucoup de...
Page 110 - Cependant, son goût excessif pour cette fille paraissait être inspiré par quelques circonstances relatives à son service à la cuisine, plutôt que par sa personne ; car cette fille ayant été remplacée, par une autre, l'affection du perroquet ne fit que changer d'objet et parut être au même degré dès le premier jour pour cette nouvelle fille de cuisine et, par conséquent, avant que ses soins eussent pu inspirer et fonder cet attachement.
Page 47 - ... provoqué par les cris importuns de la corneille ou de la pie , que l'aigle se détermine à les punir de mort : d'ailleurs il ne veut d'autre bien que celui qu'il conquiert, d'autre proie que celle qu'il prend lui-même : la tempérance; il ne mange presque jamais son gibier en entier , et il laisse , comme le lion , les débris et les restes aux autres animaux.
Page 109 - ... qu'elle fit pour s'en débarrasser; l'instant d'après, elle le retrouvait sur ses pas. Son attachement avait toutes les marques de l'amitié la plus sentie. Cette fille eut un mal au doigt considérable et...
Page 47 - Il est encore solitaire comme le lion , habitant d'un désert dont il défend l'entrée et l'usage de la chasse à tous les autres oiseaux; car il est peut-être plus rare de voir deux paires d'aigles dans la même portion de montagne, que deux familles de lions dans la même partie de forêt : ils se tiennent assez loin les uns des autres pour que l'espace qu'ils se sont départi leur fournisse une ample subsistance ; ils ne comptent la valeur et l'étendue de leur royaume que par le produit de...
Page 110 - Si celles du chien , du cheval ou de l'éléphant, sont plus intéressantes par le sentiment et par l'utilité, la société de l'oiseau parleur est quelquefois plus attachante par l'agrément; il récrée, il distrait, il amuse: dans la solitude il est compagnie, dans la...
Page 203 - ... des nichées; le nid qu'ils construisent répond à la délicatesse de leur corps ; il est fait d'un coton fin ou d'une bourre soyeuse recueillie sur des fleurs; ce nid est fortement tissu et de la consistance d'une peau douce et épaisse ; la femelle se charge de l'ouvrage et laisse au mâle le soin d'apporter les matériaux.
Page 6 - ... un grand espace, il faut donc qu'ils en voient l'étendue et même les limites. Si la nature, en leur donnant la rapidité du vol , les eût rendus myopes...
Page 179 - Tous ces caractères sont , comme l'on voit , très-distincts entre eux, et très-difïérens de celui de nos serins favoris, toujours gais , toujours chantans, si familiers , si aimables , si bons maris , si bons pères , et en tout d'un caractère si doux , d'un naturel si heureux , qu'ils sont susceptibles de toutes les bonnes impressions et doués des meilleures inclinations : ils récréent sans cesse leur femelle par leur chant ; ils la soulagent dans la pénible assiduité de couver ; ils...