Histoire naturelle, générale et particulière, Volumes 59-60F. Dufart, 1798 - Natural history |
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Common terms and phrases
abdomine ailes alarum albá albis albo Aldrovande alis avoit baie d'Hudson Belon blanc Brisson brun candidis capite et collo Cayenne Charadrius Charleton cinereo cinereus collo Colymbus cormoran corpore suprà couleur cristatus devant du cou dorso edit Edwards étoit femelle foulque fronte Fulica fuscis fusco fuscus Gallinula Gesner goëland gorge grèbe cornu grèbe huppé gris Groenland gutture harle hirondelles hirondelles de mer Hist huppé Idem jacana Jonston Klein l'oiseau Larus Lath Latham maculis mâle membrane Merganser Mergus mouettes nigricantibus nigris nigro noir noirâtre obscurè oiseaux Onomazt ornith Ornithol ornithologique paroît Parra pectore pedibus Pelecanus pélican pennes petits phalarope pieds planches enluminées plongeon plumage plumes pluvier Podiceps poisson pouces poule d'eau poule sultane queue râle râle d'eau Rallus rectricibus remigibus rostro pedibusque rouge SONNINI Sterna subtùs albus supernè Synops synopsis of birds Syst tems tiklin variété ventre Voyage Voyez les planches Willulghby
Popular passages
Page 189 - Le meilleur voilier, le plus vite de nos vaisseaux, la frégate1, a donné son nom à l'oiseau qui vole le plus rapidement et le plus constamment sur les mers. La frégate* est en effet de tous ces navigateurs ailés celui dont le vol est le plus fier, le plus puissant et le plus étendu : balancé sur des ailes d'une prodigieuse longueur, se soutenant sans mouvement sensible, cet oiseau semble nager paisiblement dans l'air tranquille pour attendre l'instant de fondre sur...
Page 311 - ... à nous fuir, ne quittent pas les bois et les lieux escarpés des montagnes, où ils vivent loin de nous et seuls avec la nature, qui d'avance leur a dicté ses lois et donné les moyens de les exécuter? Elle retient la...
Page 189 - La frégate est en effet de tous ces navigateurs ailés celui dont, le vol est le plus lier, le plus puissant , et le plus étendu : balancé sur des ailes d'une prodigieuse longueur, se soutenant sans mouvement sensible , cet oiseau semble nager paisiblement dans l'air tranquille, pour attendre l'instant de fondre sur sa proie avec la rapidité d'un trait ; et lorsque les airs sont agités par la tempête , légère comme le vent, la frégate s'élève jusqu'aux nues, et va chercher le calme, en...
Page 310 - L'aigle ne quitte point ses rochers, ni le héron ses rivages : l'un fond du haut des airs sur l'agneau, qu'il enlève ou déchire par le seul droit que lui donne la force de ses armes, et par l'usage qu'il fait de ses serres cruelles ; l'autre, le pied dans la fange, attend, à l'ordre du besoin, le passage de la proie fugitive.
Page 413 - Le pélican est plus remarquable, plus intéressant pour un naturaliste par la hauteur de sa taille et par le grand sac qu'il porte sous le bec, que parla célébrité fabuleuse de son nom, consacré dans les emblèmes religieux des peuples ignorants. On a représenté sous sa figure la tendresse paternelle se déchirant le sein pour nourrir de son sang sa famille languissante ; mais cette fable que les Égyptiens racontaient déjà du vautour ne devait pas s'appliquer au pélican , qui vit dans...
Page 223 - ... grand manteau d'un noir ou noirâtre ardoisé lui couvre son large dos ; tout le reste du plumage est blanc ; son bec fort et robuste , long de trois pouces et demi , est jaunâtre , avec une tache rouge à l'angle saillant de la mandibule inférieure ; la paupière est d'un jaune aurore ; les pieds , avec leur membrane , sont d'une couleur de chair blanchâtre et comme farineux.
Page 249 - ... des précédentes, prise à un période différent d'âge : ses traits et sa figure semblent nous l'indiquer ; le manteau, dit Feuillée, est gris mêlé de blanc, ainsi que le dessus du cou, dont le devant est gris clair, de même que tout le parement; les pennes de la queue sont d'un minime obscur...
Page 311 - Elle retient la gelinotte sous l'ombre épaisse des sapins; le merle solitaire sur son rocher; le loriot dans les forêts , dont il fait retentir les échos , tandis que l'outarde va chercher les friches arides, et le râle les humides prairies. Ces lois de la nature sont des décrets éternels , immuables , aussi constants que la forme des êtres...
Page 324 - C'est beaucoup, dans le court espace qu'il nous est permis de saisir , d'observer ses passages , d'indiquer ses nuances et de soupçonner les transformations infinies qu'elle a pu subir ou faire , depuis les temps immenses qu'elle a travaillé ses ouvrages.
Page 168 - Sa longueur , du bout du bec à celui de la queue , est de deux pieds cinq pouces , et d'un pied onze pouces au bon t des ongles ; son bec a quatre pouces et demi, sa queue près de dix.